L’arrivée à Santiago est … folklorique.
Il est deux heures et demi du matin, j’avais décidé de rester à l’aéroport jusqu’au matin pour économiser une nuit d’hôtel. Je me suis retrouvé à coté de deux bons ronfleurs … Vers les sept heures et après quarante cinq minutes de sommeil rassérénant (ironie quand tu nous tiens …), le zombie que j’étais devenu se promena dans le terminal afin d’aller prendre un café et patienter pour mon transfert. Transfert conseillé par le centre d’information pour éviter les dangers du bus (agression, pickpocket …) … Sympa l’accueil !
Arrivé à l’hôtel, rebelote : « laissez tout dans votre consigne : passeport, argent, téléphone, appareil photo … » … Euh … C’est Santiago ou Bagdad ? C’est donc bien prévenu que je m’aventurais en ville, la boule au ventre, la main dans la poche fermement agrippée à mon couteau suisse. Regard de tueur avec ma barbe naissante, j’essayais de paraître pour un tchétchène en soif d’indépendance en plein Moscou … Bon d ‘accord j’en rajoute un peu … mais ce n’était pas très agréable de sortir sur ces bases.
J’achète mon billet d’avion pour l’île de Pâques (enfin je fais acheter, merci Seb en passant), un peu de matériel photo et retourne à l’hôtel en ne planifiant que le tour en groupe pour visiter Santiago, histoire d’être plus à l’aise. Au final la capitale aura été encore un bon moment où j’ai la chance de rencontrer Imma, espagnole qui m’invite à partager un dîner avec un couple de chiliens adorables qui nous font découvrir plusieurs facettes de leur pays et qui nous soumettent plusieurs endroits à voir et inconnus de la plupart des touristes (rajoutés sur la liste des choses à faire / voir).
Arrive le lundi dix huit Août, je repars vers l’aéroport pour une destination qui me fscine depuis toujours. Les colosses de pierre m’attendent, je suis un peu dans un état second, je vais m’envoler vers l’île de Pâques.
Il est deux heures et demi du matin, j’avais décidé de rester à l’aéroport jusqu’au matin pour économiser une nuit d’hôtel. Je me suis retrouvé à coté de deux bons ronfleurs … Vers les sept heures et après quarante cinq minutes de sommeil rassérénant (ironie quand tu nous tiens …), le zombie que j’étais devenu se promena dans le terminal afin d’aller prendre un café et patienter pour mon transfert. Transfert conseillé par le centre d’information pour éviter les dangers du bus (agression, pickpocket …) … Sympa l’accueil !
Arrivé à l’hôtel, rebelote : « laissez tout dans votre consigne : passeport, argent, téléphone, appareil photo … » … Euh … C’est Santiago ou Bagdad ? C’est donc bien prévenu que je m’aventurais en ville, la boule au ventre, la main dans la poche fermement agrippée à mon couteau suisse. Regard de tueur avec ma barbe naissante, j’essayais de paraître pour un tchétchène en soif d’indépendance en plein Moscou … Bon d ‘accord j’en rajoute un peu … mais ce n’était pas très agréable de sortir sur ces bases.
J’achète mon billet d’avion pour l’île de Pâques (enfin je fais acheter, merci Seb en passant), un peu de matériel photo et retourne à l’hôtel en ne planifiant que le tour en groupe pour visiter Santiago, histoire d’être plus à l’aise. Au final la capitale aura été encore un bon moment où j’ai la chance de rencontrer Imma, espagnole qui m’invite à partager un dîner avec un couple de chiliens adorables qui nous font découvrir plusieurs facettes de leur pays et qui nous soumettent plusieurs endroits à voir et inconnus de la plupart des touristes (rajoutés sur la liste des choses à faire / voir).
Arrive le lundi dix huit Août, je repars vers l’aéroport pour une destination qui me fscine depuis toujours. Les colosses de pierre m’attendent, je suis un peu dans un état second, je vais m’envoler vers l’île de Pâques.